Quelques leçons de galanterie messieurs

Au restaurant, un homme tirera légèrement le siège pour inviter une femme à s’asseoir. Les hommes doivent attendre que les femmes soient installées avant de s’asseoir à leur tour.

L’homme sert à boire à la femme qui l’accompagne, lui offre les plats en premier, paie l’addition au restaurant.

Un homme galant ouvrira la porte à une femme pour la laisser passer devant lui. Cependant, s’il s’agit d’un endroit public, comme un bar ou un casino par exemple, l’homme généralement précédera la femme qui l’accompagne, peut-être pour s’assurer que l’endroit est sûr ou convenable.

Dans la rue, l’homme réserve le côté trottoir (le « haut du pavé ») à une femme, afin de la protéger des risques possibles pouvant venir du côté rue.

Dans un escalier, un homme précède une femme en descendant, pour la retenir au cas où elle tomberait. Il doit aussi la précéder en montant : il ne pourra pas lui venir en aide si elle trébuche, mais pour des raisons évidentes, il ne voudra pas embarrasser une femme en la suivant.

Un homme aidera une femme à enlever son manteau, où à le remettre. Il la raccompagnera jusqu’à la porte, ou mieux, jusqu’à chez elle. S’il la raccompagne en voiture, il lui ouvrira la portière avant de monter lui-même. A l’arrivée, il descend de la voiture en premier pour ouvrir la portière.

A la gare, à l’aéroport, c’est l’homme qui se charge des bagages lourds, il aidera à monter les valises d’une femme, à les placer dans le compartiment d’un train.

Un homme complimente sans affectation une femme sur sa manière de s’habiller, sur son élégance : « Vous êtes ravissante ce soir », « Cette couleur vous va parfaitement ». Celle-ci le remerciera avec un sourire, en acceptant le compliment.


Tiré de "Etiquette et savoir vivre"

Posts les plus consultés de ce blog

Cousinage à plaisanterie, les principales figures

Apprendre à corriger ses défauts pour vivre mieux vivre

PROFESSEUR DJIBO HAMANI, HISTORIEN, ENSEIGNANT-CHERCHEUR : « L’un de nos malheurs, c’est que nous travaillons avec la mémoire d’autrui…»