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Affichage des articles du 2009

Toujours disposer d'une carte maitresse

Aujourd’hui, je viens aborder la nécessité de disposer d’éléments de réserve, mieux de carte maitresse, dans toute situation. Ce post m’a été inspiré par une situation vécue ces jours-ci. L’histoire Je roulais la semaine dernière, quand arrivé à un feu rouge, je pris la décision de payer une carte de recharge pour charger mon téléphone. Avant, de recevoir la carte du vendeur, nommons le Djibrilla et procéder au paiement, le feu passa au vert. Je m’avançais quelques mètres plus loin et quittais la chaussée pour ne pas gêner les autres véhicules. Avant que Djibrilla ne me rejoigne, un autre vendeur, nommons le Abdou, vint me proposer ses cartes. Je lui fis savoir que j’ai déjà discuté avec un autre qui ne tarda d’ailleurs pas à nous rejoindre. Au moment de payer, je me suis rendu compte qu’il me manquait quelques francs et je le fis savoir à Djibrilla qui resta sans mot dire au moment où Abdou lui s’empressait de me donner sa carte. Surprise ! Je demandais à Abdou, devenu maitre des lieu

Du contrat....

Après une longue interruption, je sors la tête hors de l’eau pour aborder le thème du contrat. Voyons ce contrat comme un accord volontaire entre parties sur des dispositions préétablies. Avant d’aller plus loin, essayons de répondre à certaines questions. Comment définit-on réellement le contrat ? Pourquoi entre t-on en contrat ? Quelles dispositions prendre avant de s’engager ? Quelles sont les obligations contractuelles ? Nous essayerons sans être long d’aborder chacune de ces questions. Le contrat, par définition, est « comme une convention formelle ou informelle, passée entre deux parties ou davantage, ayant pour objet l'établissement d'obligations à la charge ou au bénéfice de chacune de ces parties »(wikipédia). Il est si courant qu’il régit la vie de tous les jours en société. Le contrat peut être vu comme le fruit de l’offre et de la demande. C’est parce que nous avons besoin d’une compétence, d’un poste, d’un produit ou d’un service que nous acceptons d’entrer en rela

Echapper à la routine du boulot-dodo (6/6)

L'oisiveté, un état qui demande du travail Le blues post-départ : c’est normal J’ai plus d’argent et de temps que je ne l’aurais jamais cru possible… Pourquoi cette déprime ? Excellente question que vous faites fort bien de vous poser maintenant et pas à la fin de votre vie ! Les retraités très riches sont souvent insatisfaits et névrosés pour la même raison : trop d’oisiveté. Mais, une seconde… Du temps, c’est bien ce que nous voulions, non ? N’est-ce pas tout le propos de ce livre ? Non, absolument pas. Trop de temps libre ne mène à rien sinon à douter de soi et à tourner en rond dans sa tête. Supprimer le mauvais ne suffit pas à créer le bon. Cela laisse un vide. Réduire le travail qui fait bouillir la marmite n’est pas le but ultime. Vivre plus, et devenir plus, voilà notre but. Les premiers temps, les distractions extérieures seront suffisantes et il n’y a rien de mal à cela. Je n’insisterai jamais assez sur l’importance de cette période. Eclatez-vous et vivez vos rêves. Ce n’

Echapper à la routine du boulot-dodo (2/6)

Le multiplicateur de liberté Descendre du mauvais train Ça suffit comme ça. Ras-le-bol de faire le mouton. La quête aveugle de l’argent est une quête vaine. J’ai convoyé des avions privés au-dessus des Andes, goûté aux meilleurs vins du monde entre deux descentes de ski de classe mondiale, et vécu comme un roi, à paresser au bord de la piscine infinie d’une villa privée. Voici le petit secret que je dévoile rarement : tout cela coûte moins cher qu’un loyer là où vous vivez. Quand votre temps vous appartient, et que vous n’êtes pas enchaîné à un lieu, votre argent vaut automatiquement trois à dix fois plus. Cela n’a rien à voir avec les taux de change. Etre riche financièrement et avoir la capacité de vivre comme un millionnaire sont deux choses fondamentalement très différentes. La valeur pratique de l’argent est multipliée en fonction du nombre de "Q" et de "O" que vous contrôlez dans votre vie : Quoi (ce que vous faites), Quand, Où et avec Qui. J’appelle ça le &qu

Echapper à la routine du boulot-dodo (3/6)

Vers la fin du "ça ira mieux demain" Débusquer la peur déguisée en optimisme La peur avance sous de multiples visages et nous l’appelons rarement par son nom. C’est que la peur… fait plutôt peur. La plupart des êtres humains doués d’intelligence la déguisent en autre chose : le déni optimiste. La plupart de ceux et celles qui évitent de quitter leur emploi entretiennent l’idée que leur situation s’améliorera avec le temps ou les augmentations de salaire. Idée qui semble pertinente et constitue une hallucination tentante lorsqu’un boulot est juste ennuyeux ou peu motivant. L’enfer, lui, oblige à agir mais tout ce qui se situe en deçà peut être supporté pourvu qu’on y mette ce qu’il faut de rationalisation intelligente. Pensez-vous réellement que les choses vont s’améliorer ou prenez-vous vos rêves pour une réalité, bonne excuse pour ne pas agir ? Quand on est confiant dans un avenir plus radieux, se pose-t-on réellement des questions ? Généralement pas. C’est la peur de l’inco

Echapper à la routine du boulot-dodo (4/6)

De l'art d'être efficace Etre efficace versus être performant Etre efficace, c’est faire des choses qui vous rapprochent de vos objectifs. Etre performant, c’est accomplir une tâche donnée (qu’elle soit importante ou non) de la manière la plus économique possible. La performance sans considération de l’efficacité est le mode par défaut de l’univers. Je considérerais comme performant mais totalement inefficace l’as du porte-à-porte. Il vendrait plus en utilisant un autre support, comme le courriel ou le publipostage. C’est également vrai de la personne qui vérifie ses courriels 30 fois par jour et met au point un système élaboré de règles de dossiers et des techniques sophistiquées pour garantir que chacune de ces broutilles se déplace aussi vite que possible. J’étais moi aussi un spécialiste de ce genre de brassage du vide. À un certain niveau pervers, c’est performant mais en aucun cas efficace. Voici deux truismes à ne pas oublier : » bien faire une chose sans importance ne l

Echapper à la routine du boulot-dodo (5/6)

Ne plus se rendre indispensable Le télé-PDG : au fin fond de la campagne Dans une ferme du 18e siècle, une discrète "expérience en leadership du 21e siècle" se déroule exactement comme prévu. Stephen McDonnell est à l’étage, en tongs, en train d’étudier une feuille de calcul sur son ordinateur. Sa société a augmenté son chiffre d’affaires de 30 % par an depuis sa création et il peut passer davantage de temps avec ses trois filles qu’il ne l’aurait jamais cru possible. L’expérience ? En tant que PDG d’Applegate Farms, Stephen met un point d’honneur à ne passer qu’une journée par semaine au siège de l’entreprise. Naturellement, il n’est pas le seul PDG qui passe du temps chez lui – il y a, par exemple, tous ceux qui ont eu des crises cardiaques ou des dépressions nerveuses et qui ont besoin de temps pour récupérer. La situation, toutefois, est un peu différente. McDonnell pratique la chose depuis plus de dix-sept ans. Plus rare encore, il a commencé à suivre ce régime tout just

Echapper à la routine du boulot-dodo (1/6)

A travers cette série de six (6) posts, je partage un article très intéressant que j'ai lu sur le Journal du Net. Cet article est un ensemble d'extraits de La semaine de 4 heures , de Timothy Ferriss, publié en janvier 2008 aux Editions Pearson. "A 30 ans, Timothy Ferriss a déjà tout fait : il parle 6 langues, dirige une entreprise, est animateur télé en Thaïlande et détient un record de tango... entre autres. Dans son ouvrage, "La semaine de 4 heures", il livre la recette des "Nouveaux Bienheureux", ces cadres qui ont réussi à échapper à la routine du métro-boulot-dodo pour profiter de leur vie avant l'âge de la retraite. Etape après étape, il explique comment rejoindre ce cercle très fermé." source : journaldunet.com

Jamais à demain

Qui aujourd'hui ne s'est jamais dit "je répondrai plus tard" à un mail qu'il vient de lire? Cette tendance qui pourtant déconseillée* dans le Getting Things Done de David Allen, est très répandue. Chacun de nous a au moins une fois préféré remettre à demain ce qu'il aurait pu réaliser, finaliser à l'instant. Cette tendance qu'on appelle la procrastination consiste à " Reporter au lendemain, remettre à plus tard quelque chose, généralement par manque de motivation ou par paresse" (Source fr.wiktionary.org). Wikipédia précise que cette tendance peut également être due à la nature perfectionniste de certaines personnes. Comprendre la procrastination Les cas de procrastination sont souvent dus à: au manque de motivation. Nous avons tendance à reporter une action parce que nous ne sommes pas motivés. D'autres diront qu'ils n'ont pas la tête à çà. à la peur de l'échec ou des conséquences d'une réussite. On peut également être

How to reinvent your personality

Your inner mettle may not be easily altered, but with the right tool kit, some aspects of personality may be works in progress. Become a believer . Trust that you can change and you are far more likely to do so. Find your signature strengths —and that means discover them. Don't assume that you know your strengths in advance. See authentichappiness.sas.upenn.edu for a questionnaire that measures character strengths. Identify—and reject—overly pessimistic beliefs . Rigidity might be the result of a belief as well as inner temperament. Tap someone to help you meet a goal . A systematic approach with a good friend or therapist can help you buckle down. Take risks . Confidence increases with persistent experiment. Sign up for a stand-up comedy class. Because people do change with time, you may find that attending parties alone—an act that petrified you two years ago—is now a manageable challenge. Find the rig

Pourquoi c'est si difficile de demander?

Le plus grand prix qu'on puisse payer pour quoi que ce soit, c'est de le demander. --Marcel Achard Je reviens cette fois avec un constat que j'ai fait: demander est certainement l'action la plus utilisée, loin devant les salutations certainement. Selon la célèbre encyclopédie wiktionnaire, demander, c'est " indiquer à quelqu’un par des paroles, par un écrit ou tout autre moyen ce qu’on désire obtenir de lui ". Au commencement, tout bébé, c'est la première chose que nous avons apprise : crier quand on a faim, crier quand on a sommeil, quand on veut être changé, crier parce que l'on veut plus d'attention. Adolescent, on demande à sortir avec la petite voisine (une habitude qu'on ne perd pas, seule la cible change), on apprend à draguer. Adulte, c'est les demandes de stage, d'emploi, d'augmentation de salaire. Mais aussi de secours, de protection de la part du bon Dieu. Et la liste continue. Comme nous le voyons, la demande est